[1/5] Ce samedi à #Paris, tout ce que compte l’extrême-droite radicale s’est donné rendez-vous. Nationalistes, identitaires, néonazis paradaient, entre croix celtiques, chants racistes et saluts fascistes. Parmi elleux, une dizaine de comtois-e-s ont été identifié-e-s. https://t.co/tGs5f2aqb7
[2/5] Le « comité du 9 mai » (C9M) existe depuis près de trente ans, avec la présence déjà ancienne de bannières locales ; comme à l’édition 2010, où furent remarqué-e-s plusieurs membres du Front comtois [https://fr.wikipedia.org/wiki/Front_comtois] et des JNR [https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeunesses_nationalistes_r%C3%A9volutionnaires]. https://t.co/SP4Zp7UFJ6
[3/5] En 2023 donc, environ trois-cent chantres de la race blanche ont été une énième fois autorisé-e-s à défiler en toute quiétude… alors qu’en parallèle, la moindre opposition politique, syndicale ou populaire exprimée à l’encontre du pouvoir reste sévèrement réprimée. https://t.co/PluPkQ6NtI
[4/5] Sans surprise, on y retrouve plusieurs connaissances originaires de la région. Il s’agit, pour l’essentiel, des individus présent-e-s en marge du 1er mai à #Besançon, et multipliant, grâce à une totale impunité policière et judiciaire, harcèlement, menaces et agressions. https://t.co/lMQdzseyWV
[5/5] Derrière l’image minable, servie quand ielles sont en délicatesse, de pauvres neuneus dépassé-e-s par leurs idées et l’effet de groupe, aparaissent les réseautages et structurations d’une haine, parfaitement consciente et ordonnée, qui avance dans un silence quasi-général. https://t.co/10TXrl3rlV